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30/03/2021

En 2020, 812 SDF sont morts dans la rue, et que faisons-nous pour eux ?

 

 

 

 

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Encore une nouvelle qui passe inaperçue et qui ne fait pas les gros titres des médias. Cette semaine, c’est France Info qui lance un chiffre. Un chiffre qui devrait nous interpeller, nous faire réfléchir et faire changer certaines options scandaleuses de ce gouvernement. L’an dernier, le nombre de sans-abri morts dans la rue a augmenté de 15 %. Oui, ce sont 612 SDF qui ont été retrouvés morts sur nos trottoirs, malades ou victimes d’agressions. Âge moyen de ces malheureux : 48,7 ans, alors que l’espérance de vie, en France, est de 82 ans.

 

 

Sur le site du collectif Les Morts de la rue, on peut trouver le nombre de victimes de cette année, arrêté au 25 octobre : 569, dont l’âge moyen était de 48 ans ! 569 avant l’hiver…

 

 

Géraldine Frank, présidente de ce collectif, annonce même que ce chiffre pourrait être six fois supérieur à celui que cette association a comptabilisé. Ces hommes et ces femmes sont morts dans l’indifférence de la Nation. 27 % des décès sont dus à « des accidents, des agressions ou des suicides », 36 % à des maladies. 4 de ces personnes sur 10 étaient de nationalité française et 3 sur 10 souffraient d’au moins une addiction. Autre chiffre édifiant : parmi ces victimes, il y avait au moins 13 mineurs.

 

 

 

Mon mauvais esprit m’a aussitôt amené à une sordide comparaison… Où sont les ONG-passeurs de migrants ? SOS Méditerranée ne pourrait-elle pas devenir SOS Trottoirs ? Mais c’est sûrement moins porteur que d’aller récupérer des migrants au large de la Libye. Et que fait le gouvernement ?

 

 

 

Il préfère acheter des hôtels du style Formule 1 pour y loger des hommes arrivés en hors-la-loi sur notre sol plutôt que d’y abriter nos sans-abri parmi lesquels, d’ailleurs, on compte quelques jeunes migrants ayant échappé à la générosité de nos institutions.

 

 

 

Le premier ministre pourra-t-il expliquer pourquoi et comment on n’ouvre pas plus « ses » hôtels aux malheureux qui sont dans la rue avec un barda misérable, entassé dans un Caddie™ ou une poussette ? Pourquoi ces hommes et ces rares femmes ne sont pas pris en charge plus rapidement par les services sociaux qui maraudent, et hébergés dans des chambres d’hôtel décentes que son gouvernement semble préférer attribuer à des migrants ?

 

 

Ces questions peuvent paraître simpliste, et pourtant, elle sont réalistes.

 

 

 

Qu’en 2021, alors qu’Emmanuel Macron avait déclaré au début de son manda que« plus un seul Français ne doit habiter dans la rue », 812 personnes, et probablement beaucoup plus, sont décédées sur nos bancs publics ou à même nos trottoirs, reste un scandale absolu. Alors que nous offrons gîte et couvert à toute une population venue s’imposer chez nous.

 

 

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26/03/2021

LES MARAUDES DU PASTEUR BLANCHARD:

 

 

 

 

                 

    LA LIGUE

                             FRANCILIENNE

 

 

 

  Le Réseau Identités en Ile-de-France

 

 

 

 

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Le 08 octobre dernier, une nouvelle maraude du pasteur Blanchard, à la rencontre de tous ceux que l’on oublie, que l’on ne voit pas. Tous ceux qui ne seront jamais invités au Petit Journal de Canal+ car pas assez photogéniques.

 

 

Une maraude organisée par le pasteur à la rencontre de ceux qui sont transparents pour notre société, nos intouchables. Une nouvelle traversée de Paris, celle de la misère, femme seule avec enfants dormant par terre, couples dormant par terre, SDF résignés à leur existence et dans l’incapacité de changer leur vie.

 

 

Le pasteur Blanchard dira : « On ne sort pas ou difficilement de la rue. La rue est un monde parallèle, avec ses propres codes, avec ses propres dimensions de temps et d’espace ».

 

 

Nous ferons des rencontres étranges, de celles qui ne peuvent se faire que dans ses moments là. Des travailleurs sans-papiers rencontrés Rue de la Huchette, attristés par le sort des plus pauvres qui nous amèneront nous les damnés jusque dans des recoins de rue pour y apporter un peu de réconfort à ceux qui n’ont rien et qui nous remercierons ensuite de faire ce que nous faisons.

 

 

 

 

 

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23/03/2021

La consommation de cocaïne se répand…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

comme une traînée de poudre

 

 

 

 C’est un mal rampant et pourtant omniprésent notamment à Paris : la cocaïne ou coke ou même C dans le jargon est de plus en plus consommée par les jeunes Français. Une enquête réalisée en début d’année montre que les clients sont aussi bien masculins que féminins, étudiants ou actifs, parisiens ou banlieusards.

 

 

 

 

Les détails concernant la consommation sont effrayants. Le vendeur interrogé dans cette enquête confie que la grande majorité de ses clients sont réguliers. Comme il se déplace à domicile pour livrer la marchandise, celui qui se fait appeler Kader peut décrire le profil de ses clients :

 

 

 

« Parmi mes clients, y’a des gros bourges dans des fat apparts, mais pas que – pas que du tout même. Mais parfois ouais, c’est choquant un peu, quand t’arrives dans le salon du pavillon, avec le petit jardin et tout, et que tu vois des jouets d’enfants, des peluches. T’as envie de lui dire : “Assure, sérieux, t’es père ou mère de famille quoi !“ »

 

 

 

Bref, le Français moyen !

 

 

Le reste de sa clientèle est constitué de fêtards, qui, pour mettre un peu plus de piquant dans leurs soirées, se droguent. Et cela dans tous les quartiers :

 

 

 

« J’ai des clients dans le 8,9, 10,11. Pas trop le 13, un peu 14-15, 16, 17 aussi. Partout, en fait. Montreuil, Pantin. »

 

 

 

« Pas trop de 13 » ? Non pas parce que, dans le XIIIe arrondissement de Paris, on n’en consomme pas, mais parce qu’il faut être asiatique pour en faire commerce…

 

 

 

Or les effets de cette drogue sont ravageurs. Sur le papier cette substance est parfaite : elle donne de l’énergie, de la confiance en soi, de la force. Elle stimule les sens en les rendant plus affutés. Mais en contrepartie, l’addiction est très forte, durable.

 

 

 

De plus, il y a des risques immédiats pour la santé. En effet, elle réduit l’afflux de sang vers le cœur et peut donc entrainer des faiblesses cardiaques ou arrêts cardiaques immédiats. A long terme, elle provoque une détérioration de la matière grise du cerveau deux fois plus vite que la normale. La destruction de l’odorat causée par l’absorption par le nez mène également à la dépression et d’autres choses.

 

 

 

Peut‑être que la lutte antidrogue dure, et pas seulement la question du cannabis, devrait être présente notre société. Car ce sont bien la France et sa population qui sont en train de se suicider.

 

 

 

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19/03/2021

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 

 

 

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Par Thierry Auriat,

 

membre fondateur de l'ASP

 

 

 

Je  participe, mardi 8 mai 2019 pour la quatrième fois à une maraude.

 

 

 

Mon ami le Pasteur Blanchard, président de l'Action Sociale et Populaire, m'a fait l'honneur de m'inviter à collaborer à cette sortie, pour venir en aide à nos compatriotes sans-abri, avec un autre membre fondateur de l’ASP, mon ami Oscar Wesley .

 

 

Pendant toute l'année, le Pasteur et ses fidèles bénévoles, parfois accompagnés d'élus et de cadres du Front National, mais aussi d'autres personnes de tous  les milieux de notre famille politique.

 

 

Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures aux nôtres sans-abri, ces maraudes ont aussi pour but d'ébaucher des liens d'amitié, de tisser un suivi fait de chaleur humaine.

 

 

  

Jeudi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble. Et je garde un souvenir ému de toutes ces rencontres , ces discussions avec Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…. Ils ne possèdent rien. Ils vivent dans la rue, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée de Paris. Ils ont pourtant beaucoup, un peu de grandeur d'âme et un peu de chaleur humaine. Et, c'est une joie d'avoir pu se rendre utile en leur donnant un peu de nourriture, quelques couvertures et d'avoir échangé quelques paroles ce soir-là.

 

 

 

A force, si l'on peut dire, certains ne quitteraient pour rien au monde la rue, d'autres la détestent, quelques-uns pourront en sortir. Tous nous ont accueillis avec le sourire ; des regards qui en disaient long, faits de la détresse de gens perdus pour les uns, emprunts de dignité, pétillants, souriants et chaleureux pour les autres.

 

 

 

 

De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par la Place d’Italie, du Jardin des Plantes à Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée nous a dévoilé, une fois de plus, qu'un monde parallèle existe dans nos rues. Ils sont dix mille à Paris, trois mille dans le XIIIe arrondissement, qui n'ont rien et qui parfois ne demandent rien. Leur seule richesse : peut-être un certain détachement par rapport de  notre société de consommation ? tellement égoïste et trop individualiste. Mais une indépendance qu'ils paient au prix fort.

 

 

 

Une autre constatation choquante durant cette soirée est l'évident manque de moyens accordé par l'Etat à l'aide des sans-abri. L'Etat semble plus compter sur la générosité privée que sur lui-même : "cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir".

 

 

 

 

Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale. Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques-uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif.

 

 

 

Si un soutien leur était apporté avant la chute presque irréversible, combien nous déclarait faire le choix volontaire de rester dans la rue ? Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être, autant de causes sociales et/ou économiques qui pourrait être traité et endigué si on en prenait la peine ; si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.

 

 

 

Je voudrais, en conclusion, parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de venir en aide à ces personnes avec de petits moyens, donner un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et aux militants de l'ASP. Sincères et humains, ils connaissent un nombre impressionnant de sans-abri parisiens par leur prénom, savent un peu de leur vie, de leur parcours parce qu'ils font gratuitement l'effort de s'intéresser en vérité à ceux qu'ils croisent durant leurs maraudes.

 

 

 

Si vous souhaitez cette association à se développer, si vous ne pouvez le faire financièrement, faites-le un soir en donnant de votre temps. Et puis, vous pouvez aussi nous procurer des couvertures, des chaussures de grande pointure et des vêtements chauds. Les besoins sont importants car ou dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps.

 

 

 

Thierry Auriat

 

 

 

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16/03/2021

Mort d’un SDF dans les quartiers chics de Paris : les leçons d’une tragédie:

 

 

 

 

 
Il y a les tragédies qui font la une des journaux télévisés. Et d’autres, plus discrètes, passées sous boisseau par manque de temps ou d’intérêt.
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 
 
Journaliste, écrivain
 
 
 
      

Il y a les tragédies qui font la une des journaux télévisés. Et d’autres, plus discrètes, passées sous boisseau par manque de temps ou d’intérêt. Ces dernières n’en sont pas moins révélatrices de l’actuel état de notre société. Ainsi, Michal, un SDF tchèque de 66 ans, est mort de froid dans la nuit de mercredi à jeudi, en plein dans un parking souterrain de l’avenue Matignon, en plein « Triangle d’or » parisien.

 

 

 

Relaté par Le Parisien, ce témoignage : « Venu d’Europe de l’Est pour étudier à Paris, cet homme qui parlait français “avec un fort accent” était tombé dans la précarité “très probablement à la suite d’un non-renouvellement de titre de séjour”, raconte Cédric Lautard, de l’association Les Enfants du Canal, qui lui venait en aide. » 

 

 

 

Le Michal en question, apprend-on de même source, n’avait pas osé, durant longtemps, demander un hébergement d’urgence, se contentant de vivre au jour le jour, et puis il avait fini par s’y décider récemment, car « il commençait à fatiguer ». Voilà qui est donc emblématique de la dinguerie et du délitement ambiant.

 

 

 

De deux choses l’une : ou cet homme devait être renvoyé chez lui, sachant que la République tchèque, ce n’est pas non plus l’enfer sur Terre, loin s’en faut. Ou il avait vocation à obtenir le statut d’immigré en situation régulière, voire celui d’une éventuelle régularisation ; il avait appris le français et son profil n’était pas exactement celui d’un djihadiste de combat.

 

 

 

Comme de plus en plus souvent, les autorités publiques ont choisi de ne pas choisir, de regarder ailleurs tout en laissant pourrir la situation. On voit le résultat. C’est la même logique infernale de l’immobilisme si « bien » incarnée par la jungle de Calais. On ne fait rien, on laisse faire tout en se disant que, jusque-là, ça va. Jusqu’au jour où cela ne va plus. Ou de pauvres hères meurent en tentant de se faire la belle par le tunnel sous la Manche ou en viennent à découdre avec les forces de l’ordre. En attendant d’autres morts, d’autres drames.

 

Un vieux débat léonin oppose de longue date ceux, persuadés les uns que l’injustice conduit au désordre, et les autres que le désordre mène à l’injustice. La vérité oblige à dire que les deux ont raison. Lors d’un récent « Bistro Libertés », émission phare de la chaîne dissidente TV Libertés, l’abbé Guillaume de Tanouärn revenait sur les émeutes de ces « gens du voyage » ayant bloqué une autoroute et mis à sac un quartier entier parce que l’un des leurs, emprisonné, n’avait pu se rendre aux obsèques de son frère.

 

 

 

Il affirmait en substance : « Il est injuste qu’une telle faveur lui ait été refusée, mais si ses proches n’avaient pas commis tant de désordre, tout cela aurait évidemment pu s’arranger. Quant à l’État, en refusant de faire régner l’ordre, il a été conduit à commettre une injustice. » Et comme à chaque nouveau drame, le gouvernement adopte des lois d’urgence au nom des grands principes, lois qu’il se refuse à faire appliquer au nom des bons sentiments. Ou quand le serpent se mord la queue…

 

 

 

 
 
 

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13/03/2021

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Maraude du 7/10/2014: Bruno GOLLNISCH

12/03/2021

Suite à une maraude par Michel de Zuchowicz ami de l'ASP:

 

 

 

 

 

 

 

Pour ma quatriéme participation, je suis venu plus serein que la première fois sachant la parfaite organisation des maraudes faites par le Pasteur.

 

 

Arrivé sur place, je retrouve le Pasteur identique à lui-même, original, toujours plein de dynamisme, plein de projets, mettant à l’aise et donnant l’impression de le connaître depuis longtemps.

 

 

 

Il est accompagné de son épouse aussi discrète que lui est volubile. Le couple s’équilibre !

 

 

Par contre, un grand changement concernant le temps qui était très clément, pas de pluie, presque une nuit de printemps.

 

 

Et puis, une superbe nouvelle voiture pour le Pasteur et pas n’importe laquelle : une Mercedes, assez rutilante malgré son âge.

 

 

Cela commençait donc plutôt bien, sauf que nous avons attendu plus d’une demie heure l’arrivée d’un 4eme compagnon, qui n’est jamais venu ! (En fait, il est arrivé après notre départ et a courageusement fait le parcours en métro pour nous retrouver vers minuit et demi sur les grands boulevards, quelle abnégation !).

 

 

Voilà pour le décor.

 

 

Concernant les sans abri, peu de changement ! Toujours les mêmes personnes aux mêmes endroits ! Certains seuls (français), de plus en plus marqués par leurs conditions de vie, d’autres en groupe (étrangers : polonais, Europe de l’est, voire de l’ex URSS…) qui semblent plus organisés et plus solidaires entre eux.

 

 

Dans l’ensemble, ils font un très bon accueil au Pasteur, ils sont contents de le revoir, d’échanger une poignée de mains, une accolade, quelques nouvelles et de recevoir des vêtements « réclamés » la maraude précédente, le tout accompagné d’une boisson chaude (café, thé ou soupe) préparée par la femme du Pasteur.

 

 

 

Beaucoup de gentillesse dans leurs contacts avec nous, aucune agressivité. Ils semblent très fatalistes quant à leur avenir.

 

 

 

Ils ne demandent pas grand-chose, surtout des vêtements genre bleu jeans, sweet-shirt et tee-shirt, des chaussures aussi et surtout un contact amical.

 

 

La maraude s’est terminée vers 2h du matin, tous les vêtements ayant été distribués.

 

 

 

Le contact établi depuis toutes ces années par le Pasteur, son aide amicale et fraternelle, ces quelques vêtements sont certainement un vrai réconfort pour ces sans abri. Pour cela, il faut aider sans restriction l’association Action Sociale Populaire dont il est le responsable au grand cœur !

 

 

 

Pour ma part, il existe toujours une grande incompréhension : Comment peut-on rester des années (certains plus de 15 ans) sur le même bout de trottoir, dormant dehors quelque soit le temps, vivant de la « générosité » de plusieurs associations, ne réclamant rien ? Certainement un grand coup dur de la vie pour certains, la recherche d’un Eldorado pour d’autres venus de pays moins développés que la France.

 

 

 

 

En tout cas, cela m’a permis de remettre les choses à leurs vraies places et de « relativiser » certains évènements de ma vie.

 

 

 

Pour cela, merci Pasteur !

 

 

Michel

 

 

 

 

 

09/03/2021

L’adolescente qui avait accusé Samuel Paty d’islamophobie admet avoir menti:

 

 

 

L’adolescente qui avait accusé Samuel Paty d’islamophobie admet avoir menti

 

 

 

 

L’adolescente à l’origine de l’accusation d’islamophobie visant Samuel Paty a avoué n’avoir jamais assisté au cours sur la liberté d’expression dispensé par l’enseignant. Son absence a par ailleurs été confirmée par plusieurs élèves.

 

Le Parisien rapporte le 7 mars que l’adolescente âgée de 13 ans qui a accusé le professeur d’histoire Samuel Paty d’avoir eu des propos islamophobes – une polémique débouchant sur sa décapitation le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines –, a avoué avoir menti lors de sa garde à vue. Elle aurait concédé n’avoir jamais assisté au cours sur la liberté d’expression que le professeur a dispensé au cours de cette journée. 

 

 «Je n’étais pas là le jour des caricatures», aurait admis la collégienne lors de sa mise en examen pour «dénonciation calomnieuse» le 25 novembre dernier.

 

D’après la version initiale et mensongère de l’adolescente, l’enseignant de 47 ans aurait demandé aux élèves musulmans de lever la main puis de sortir de la classe afin qu’il puisse montrer une caricature du prophète Mahomet nu publiée par le journal satirique Charlie Hebdo. L’adolescente avait prétendu avoir manifesté son mécontentement contre cette initiative, ce qui lui aurait valu une exclusion de deux jours. «Il a affirmé que je perturbais le cours et m’a dit du balai», avait-elle déclaré aux policiers lors de son dépôt de plainte contre l’enseignant pour «diffusion d’image pornographique» le 8 octobre dernier. En réalité, l’adolescente, qui éprouvait des difficultés familiales et scolaires, aurait été exclue de l’établissement quelques jours avant le drame à cause de son mauvais comportement et de son absentéisme chronique. 

 

De notre temps, quand on était renvoyé d’un établissement scolaire, tout ce que l’on pouvait faire c’est baisser les yeux pour éviter le regard furieux du patriarche de la maison ; jusqu’à ce que ça se tasse, au risque de prendre une mandale bien méritée. Maintenant on lance des Fatwa à l’encontre du personnel d’éducation jusqu’à ce que le litige soit résolu par décapitation.

 

Mais qui sommes-nous pour imposer notre vision passéiste et rétrograde ? Ah oui, des français blancs de souche. 

 

La laïcité devient un combat de plus en plus concret… Mais ne soyons pas trop inquiets cependant ; après tout, la gueuse s’y connait en coupage de têtes ; c’est simplement un retour aux sources, une confrontation / retrouvaille plus ou moins inattendue avec son domaine d’expertise. 

 

Mélenchon contre la légende noire de la Révolution - Causeur

 

 

Source : france.rt.com

 
 
 
 

 

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06/03/2021

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

 

 

 

 

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Maraude   du   23  /  12  / 2013:   Thibaut   DE  CHASSEY

 et  Patrick GOFMAN

 

 

 

 

 

 

  

05/03/2021

IMPRESSIONS DE MARAUDE..

 

 

 

Par le pasteur Blanchard.

 

 

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Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notre familiarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre douziéme campagne de maraudes. Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.

 

 

C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.

 

 

 

Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris.

 

 

A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.

 

 

 

Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.


 
 

Pasteur  Blanchard

 

 

 

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