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25/04/2017

Enfin la vérité sur les agressions sexuelles commises en Allemagne ?

 

 

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La police s’est résolue à avouer que ce sont près de 1.200 femmes qui ont été victimes d’agressions:

 

 

 

 

Décidément, les autorités allemandes ont bien du mal à dire la vérité sur les agressions commises durant la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, Düsseldorf et d’autres villes. Après avoir minimisé les faits, avec la complicité de médias occidentaux, la police s’est résolue à avouer que ce sont près de 1.200 femmes qui ont été victimes d’agressions, dont environ 650 à Cologne et 400 à Hambourg.

 

 

 

Si la police allemande avait d’abord pointé la responsabilité des migrants dans ces faits, la presse s’était empressée de les contester. Ainsi lexpress.fr publiait, le 12 février, un article intitulé « Agressions de Cologne : non, les migrants ne sont pas les principaux auteurs ». Pourtant, la plupart des suspects sont originaires d’Afrique du Nord et la moitié de ceux qui ont été identifiés étaient en Allemagne depuis moins d’un an. Difficile, dans ces conditions, de ne pas établir de lien entre ces crimes et l’arrivée massive d’immigrés en 2016.

 

 

 

Au nom du « padamalgam », de nombreuses « consciences » ont nié ce lien, allant jusqu’à expliquer ces agressions par la misère sexuelle de ces « réfugiés », non sans contradiction, d’ailleurs. Mais les autorités germaniques en ont eu tellement conscience qu’elles ont, début 2016, diffusé des documents rédigés dans des langues exotiques pour rappeler qu’en Europe, lorsqu’une femme dit non, c’est non.

 

 

 

Mais, toujours au nom de cette idéologie qui nie la réalité des faits, la justice allemande n’a identifié que 120 personnes. Et celles qui ont été condamnées – parfois bien légèrement à des peines de prison avec sursis – se comptent sur les doigts d’une main. La justice française n’aurait pas fait mieux. À la décharge des magistrats, comment identifier avec certitude des clandestins dont les papiers sont de pure complaisance, et qui sont par définition inconnus dans un pays où ils ont pénétré illégalement ? Seule une véritable présence policière aurait permis, en arrêtant sur place les violeurs, de déférer aux tribunaux les auteurs de ces intolérables agressions.

 

 

 

Le législateur a réagi. Le Bundestag a voté, le 7 mars, une loi prévoyant que tout acte commis « contre la volonté identifiable d’une autre personne » est désormais une infraction pénale. Une faible consolation pour ces femmes et ces jeunes filles victimes de la concupiscence d’individus habitués à des plaisirs moins raffinés, qui préfèrent sans aucun doute la mini-jupe à la burqa…

 

 

 

Il faudrait bien, pourtant, ouvrir les yeux. Ces fameux réfugiés d’une vingtaine d’année, fuyant le terrifiant régime de Bachar el-Assad, ressemblent surtout à nos propres voyous, et n’ont rien à faire dans nos pays où le respect de la femme est consubstantiel à notre culture. Ce n’est pas en durcissant la loi qu’on réglera le problème, mais bien en empêchant ces hordes de s’implanter sur notre sol. En France, les banlieues connaissent des phénomènes similaires ; les centres-villes aussi, et pas seulement dans les quartiers « chauds ». Il devient imprudent, pour une jeune fille, de rentrer seule chez elle le soir, après un pot entre copains, au risque d’être importunée – au mieux – par des individus qui n’en verront que les attraits juvéniles et les rondeurs mal dissimulées.

 

 

 

Et, malgré toutes les leçons de morale du monde et du Monde, ce sont ces faits qui dessillent peu à peu nos compatriotes.

 

08:58 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

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