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22/09/2015

La France est en guerre contre le terrorisme islamiste:

 

 

 

 

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Nous n’avons goûté qu’aux prémices d’un conflit qui s’annonce durable et cruellement meurtrier.

 

 

 

 

 

Juriste

 

SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Najat Vallaud-Belkacem assassine l’école publique françaiseQui connaît Christophe Rambour, torturé et séquestré durant des semaines ?Va-t-on devoir subir des débordements à chaque match de l’Algérie ?

 

 

 

 

 

 
 
      

La France est en guerre contre le terrorisme islamiste. En guerre. Oui, il faut le répéter, et prendre conscience de l’extrême gravité de la situation. Le danger est mortel. Nous n’avons goûté qu’aux prémices d’un conflit qui s’annonce durable et cruellement meurtrier. Grâce à la chance, et peut-être une protection supérieure pour les croyants, la France a échappé de peu à plusieurs massacres atroces. Pas à tous, cependant. L’armée des ombres, l’armée « islamo-racaille » internationaliste fourbit ses armes.

 

 

Bien entendu, il n’est nul besoin d’une longue démonstration pour prouver que la réponse du gouvernement est inadaptée à la situation, faible, et probablement animée d’une grande couardise. On ne fait pas la guerre avec des Numéros Verts, des célébrations festives ou les poèmes mal écrits de Christiane Taubira (jamais adressés aux gendarmes morts en mission ou aux victimes du terrorisme, soit dit en passant).

 

 

Non, on fait la guerre avec une stratégie globale, et des réponses tactiques adaptées au terrain. La stratégie globale consiste à étouffer le cœur idéologique de l’ennemi, notamment ces mosquées salafistes, ou crypto-salafistes, présentes partout en France. Elles doivent être fermées, de la même façon qu’en Égypte. On sait de source sûre que certaines mosquées, tenues par des imams ouvertement (ou discrètement) radicaux, servent aussi de plaque tournante au trafic de drogue et au trafic d’armes. La boucle est bouclée ! Autre volet stratégique, nécessaire pour lutter contre l’islamisme radical en Europe : prendre des mesures d’une fermeté absolue contre l’invasion migratoire car, parmi les bateaux chargés de migrants, il y a des terroristes formés, et certains qui le deviendront en vivant ici. En outre, le juteux chiffre d’affaires généré par les passeurs profite, pour partie, à des groupes terroristes basés au Moyen-Orient.

 

 

La réponse tactique tient en deux points : d’abord l’expulsion du territoire des étrangers fichés comme sympathisants islamistes, ainsi que la déchéance de la nationalité française des binationaux fichés ; et, last but not least, le désarmement total des « banlieues », lesquelles sont parfois malheureusement de véritables nids de sympathisants de la cause de l’islamisme guerrier. Cela aura aussi le mérite de permettre de lutter contre la criminalité de droit commun, endémique dans ces zones. En outre, les forces de l’ordre, et l’armée, devraient désormais contrôler drastiquement leurs nouvelles recrues. Il serait en effet très problématique que des islamistes s’infiltrent pour se former à l’art de la guerre ou pour mener des attaques internes.

Le journal anglais The Telegraph publiait, le 26 août, un article sur la menace terroriste qui pèse aujourd’hui sur la France, faisant état de fuites des renseignements français. Les scénarios envisagés font froid dans le dos : attaques coordonnées entre plusieurs terroristes, tirs de missiles sur des avions… L’idée de ces fanatiques est que la France subisse un attentat équivalent au 11 septembre 2001. Pour l’auteur de l’article, il est impossible que les dernières attaques soient celles de loups solitaires. Il estime que l’État Islamique aide ces meurtriers. Pourtant, François Hollande n’a qu’une obsession : abattre l’un des seuls remparts à cet État criminel, le président syrien Bachar el-Assad. Preuve d’une absence totale de vision stratégique. À ce stade, il s’agit d’inconscience, ou de rouerie, car le gouvernement met en danger la vie des Français.

 

 

La menace est plus que réelle. Par un curieux revers de fortune, des armes légères envoyées aux « rebelles » libyens se retrouvent désormais en France, prêtes à l’emploi. Les services de renseignement sont dépassés, et nul ne sait quand la prochaine attaque aura lieu. Une chose est sûre : la tentative du Thalys ne sera pas la dernière. Cette sourde menace est inacceptable, les Français n’ont pas à vivre dans la peur sur leur propre sol. Il est temps de contre-attaquer !

 

 

 

 

10:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

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