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08/09/2015

Ignoble : les mondialistes jouent avec les cadavres d’enfants pour arriver à leurs fins:

 

 

Par Thibaut de Chassey :

 

 

Utilisant cyniquement la photo d’un enfant syrien mort noyé alors que sa famille tentait de se rendre en Europe, les médias et leurs compères politiciens lancent une offensive de grande ampleur, fondée sur la tyrannie de l’émotion.

 

 

Par le choc des photos, la tragédie que connaissent certains « migrants » est utilisée pour abolir la raison et – dans un émoi rendu plus puissant car collectif – pour culpabiliser les Européens afin de les amener à ouvrir totalement les frontières à des millions d’immigrés supplémentaires, pour le bonheur des mondialistes.

 

 

Ces derniers peuvent compter sur la complicité perverse ou idiote du clergé moderne qui, globalement, confond comme d’habitude morale individuelle et morale politique (c’est-à-dire relative à la Société) et exige avec une inconscience consommée des mesures politiques qui entraîneraient rapidement le chaos chez les peuples européens et accélérerait leur disparition par changement de population.

 

 

Il convient de rappeler les responsabilités dans la situation qui prévaut au Proche-Orient :

 

 

La photo de cet enfant de Gaza tué par l'armée israélienne a-t-elle fait réagir BHL ? Non, bien sûr.

La photo de cet enfant de Gaza tué par l’armée israélienne a-t-elle fait réagir BHL ? Non, bien sûr.

 

 

-d’une part les États-Unis, l’État israélien et certains pays européens (au premier rang desquels le nôtre, hélas) se sont acharnés à déstabiliser l’Irak et la Syrie et à soutenir des groupes islamistes, le tout pour servir des intérêts qui n’étaient ni ceux des Français, ni ceux des populations locales. A ce titre, voir un Bernard-Henry Lévy invité dans les studios et sur les plateaux pour verser des larmes de crocodile et donner hypocritement des leçons (mauvaises) est insupportable.

 

 

– d’autre part, ces mêmes États européens appliquent une politique d’immigration délirante qui crée un appel d’air pour de très nombreux étrangers convoitant notre pays et ce qui leur est promis, quitte à prendre de grands risques au lieu de se réfugier – pour ceux qui en ont vraiment besoin – dans des zones plus proches.

 

 

La responsabilité du Système politico-médiatique est écrasante et les Français ne doivent se sentir coupables que de tolérer un tel régime.

 

 

Cette vague d’émotion savamment orchestrée est l’occasion de pointer du doigt les méthodes répugnantes et inhumaines de ces médias et des « bonnes consciences » qui s’y expriment (mais qui n’accueilleront jamais un immigré sous leur toit), et qui jouent avec les cadavres d’enfants.

 

 

Pourquoi ne diffusent-ils pas d’ailleurs avec la même indignation les photos des milliers de Français parfois très jeunes, tués, violés, estropiés du fait de l’immigration ?

 

 

Enfin, pourquoi ne pas rappeler le cas de l’Australie, qui est convoitée par de nombreux immigrés clandestins potentiels ?

 


Ce pays immense ne connaît pas ces drames et ces polémiques : en effet tout le monde sait désormais dans cette région du monde que le gouvernement australien ne tolère – dans les discours et dans les faits – aucune entrée en force.

 


Résultat : aucun mort en 2014 ni en 2015.

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« Pas question, vous ne serez pas chez vous en Australie
»

 
 
   
 
 

 

09:54 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

04/09/2015

LES MEMBRES FONDATEURS DE L'ASP...

 

 

 

 

 

 

 

 

NICOLAS PONS

Vice-président de l'ASP

 

 

Ce fut lors d'une de nos premières réunions, dans un local prêté par un ami à Vanves, que nous avons fait la connaissance de Nicolas. Il demeurait à l'époque à deux pas du lieu de réunion. C’est sur internet qu'il découvrit l'annonce de notre association, qui lui était totalement inconnue. C’est un peu par hasard qu'il fut présent à nos tout débuts.

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a été aussi pour la toute première maraude, et lors des premières saisons il fut un pilier de nos sorties. Avec le temps sa présence s'estompa un peu, mais pas son engagement au sein de l'association, dont il fut le trésorier. C’est aussi lui qui m'installa internet et m'initia à l'informatique. Comme beaucoup de gens du sud-ouest, il avait la nostalgie du pays, où il retourna suite à une mutation dans sa ville natale de Toulouse. Pour autant il reste un actif vice président de l'ASP. Le temps passant, bien des éléments de notre association disparurent, mais il est toujours bon de retrouver ceux qui sont restés fidèles, et qui depuis les temps héroïques de nos débuts, nous ont fait confiance. Nicolas est de ceux-là, et même plus : un ami véritable.

 

 

 

Pasteur   Blanchard

 

 

 

 

02/09/2015

Venez avec nous faire la fête………..

 

 

 

 

Fête des 10ans de l'ASP.jpg

01/09/2015

Révoltez-vous !

 

 

 

 

Qu’est-ce qui a déclenché le mouvement de révolte, en leur temps, dans les autres empires coloniaux ? Pourquoi n’en survient-il pas chez nous ? Est-ce parce qu’en France et en Europe la colonisation actuelle s’est faite progressivement, presque insensiblement ?

 

 

Parce qu’il n’y a pas eu de guerre de conquête à proprement parler, pas d’épisode militaire violent et traumatisant, comme la conquête de l’Algérie au temps de la monarchie de Juillet, à partir duquel le peuple soumis puisse se dire « Voilà, c’est fait, c’est officiel, à partir de maintenant nous sommes une colonie » ?

 

 

Mais en Tunisie et au Maroc non plus, il n’y a rien eu, de la part de la France, qui puisse vraiment s’appeler une guerre de conquête. La guerre du Rif s’apparente plus à la répression (difficile) d’une révolte qu’à l’instauration militaire d’une colonie. D’ailleurs, le Maroc et la Tunisie n’étaient pas officiellement des colonies. Ces pays étaient bien considérés pourtant comme faisant partie de l’empire colonial français, et ils étaient représentés par des pavillons, comme ses autres régions, à l’exposition coloniale de 1931, de même que les territoires sous-mandat, qui eux non plus n’avaient pas été conquis militairement.

 

 

 

 

 

 

 

La conquête militaire n’est donc absolument pas un élément constitutif indispensable à la colonisation, au caractère de colonie d’un pays. Son absence n’entraîne pas l’absence de révolte, de combat pour l’indépendance et la liberté, de soulèvement anticolonialiste. Tout juste paraît-elle impliquer, si l’on se réfère encore au Maroc et à la Tunisie, que cette révolte s’opère sans violence majeure. Mais justement, nous ne souhaitons pas du tout la violence : tout juste la révolte, le refus clairement signifié et traduit dans les faits, la décolonisation de la France et de l’Europe – laquelle suppose nécessairement la remigration, ou démigration, puisque la migration, l’immigration a été la forme particulière, inédite à cette échelle, de cette colonisation-ci, celle de nos propres contrées.

 

 

Toutes les définitions sont approximatives par définition. Il y a autant de colonisations que d’expériences historiques de la conquête et de l’asservissement des peuples par d’autres peuples. Y a-t-il autant de décolonisations ? Et qu’est-ce qui fait que chez nous, malgré les efforts de quelques-uns, le mouvement de soulèvement ne précipite pas, jusqu’à présent ?

 


Une donnée inquiétante à prendre en compte est que, de tous les empires coloniaux, l’empire colonial arabe est, avec le chinois, le seul à n’avoir jamais décolonisé, à l’époque moderne. Il a certes évacué l’Espagne, mais c’était il y a six siècles, et il y avait fallu six siècles (et il est depuis lors revenu). Même les conquêtes françaises et anglaises, a fortiori italiennes, au XIXe et au XXe siècle, se sont superposées aux siennes sans les remettre en cause. On oublie trop que les croisades étaient des guerres de libération. Les chrétiens d’Orient vivent depuis un millénaire et plus dans le deuil d’une indépendance et d’une liberté perdues, qui paraît évoluer de plus en plus vite vers l’éradication pure et simple. Est-ce là le sort qui nous attend ?

 

 

Un trait spécifique de la colonisation en cours est l’incroyable passivité des populations en voie d’asservissement, et la non moins stupéfiante coopération, complicité, bien proche de la trahison, que témoignent ceux qui les gouvernent. Il n’est plus temps de disserter ici sur les raisons de cette apathie létale, qui bien entendu sont complexes. Mettons en avant pour cette fois celle qui suscite le plus d’indulgence, ou le moins de mépris : l’incapacité à reconnaître ce qui survient pour ce que c’est vraiment, à savoir une colonisation ; l’absurde confusion de cette conquête coloniale avec une demande d’aide, de secours et d’asile, de la part d’individus si nombreux – des peuples entiers – qu’ils devraient être cent fois assez pour mettre fin dans leur propre pays, comme les peuples l’ont toujours fait, aux tyrannies et aux injustices dont ils se disent les victimes.

 

 

Nous serions encore cent fois assez, nous, les indigènes de ce continent, pour mettre fin avant qu’elle affermisse son emprise à la domination coloniale qui s’instaure, et qui déjà prétend réguler nos tenues, nos mœurs, notre régime alimentaire, notre calendrier, notre horizon intellectuel et celui de nos fenêtres, la silhouette de nos villes, notre politique étrangère et notre politique tout court. Il suffirait de se regrouper, de se nommer, de se compter, de se cotiser, de se serrer les coudes, d’abdiquer la peur et la fausse honte qui nous font tout accepter de conquérants innombrables, certes, mais de papier comme ils sont français, anglais ou italiens quand ils le sont. Les collaborateurs à leur solde, les remplacistes de ces remplaçants, sont si veules et de convictions si fluctuantes, si opportunistes, si bien fabriquées pour être retournées avec le vent, qu’à la première alerte un peu sérieuse ceux-là se précipiteraient vers quelque Sigmaringen de l’Atlas ou riad enchanté de Marrakech, où déjà ils ont leurs habitudes.

 

 

Pour ma part je ne sais pas comment il faut vous le dire. Révoltez-vous ! Révoltez-vous ! Révoltez-vous !

 

 

 

09:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)