Ancien responsable syndical à la RATP
 
 

 

 

 

 

 

Depuis quelques années, nous avons à faire face à une situation dangereuse qui se concrétise par la pression de l’islam, par ses revendications de visibilité, sa présence autoritaire dans les quartiers des banlieues. En réponse, les Français vivent mal le laxisme des responsables. Ceux qui refusent d’intervenir pour des raisons politiques, à commencer par les traités, la Cour de justice européenne, etc.

 

 

 

L’islam est officiellement une religion, mais il est d’abord, et avant tout, un système politique « clés en main ». Toutes les décisions se réfèrent à la charia, de près ou de loin, et dans chacun des 57 pays musulmans de la planète.

 

 

Quand l’islam s’installe dans un pays non musulman, il ne se passe rien d’important puisque minoritaire. Ces représentants n’ont pas d’autres volontés que d’observer les possibilités qu’ils auront de prospérer. La démographie et l’immigration font le reste. L’islam a le temps pour lui.

 

 

 

Cette dimension du temps n’a jamais été prise en compte par nos gouvernants. De même, on analyse l’islam comme étant une religion parmi d’autres, à l’instar de celle des chrétiens. Pourtant, l’islam a démontré pendant des siècles qu’il pouvait se glisser dans une société et remplacer peu à peu les religions qui l’avaient précédé. L’Égypte chrétienne en est le meilleur exemple, les coptes peuvent en témoigner. De même, les peuples autrefois chrétiens, comme Byzance (Turquie) ou la Palestine, à la fois chrétienne et juive avant que l’islam s’installe.

 

 

 

Si les arabo-musulmans se sont imposé, et le plus souvent par la guerre, c’est aussi parce qu’ils ont rencontré des peuples qui se sont rapidement convertis. De gré ou de force ! En face de ces invasions multiples, les différentes religions ont abdiqué leurs libertés et elles ont accepté de devenir des dhimmis, des sujets de l’islam, des êtres inférieurs par définition, aux droits minorés et payant un impôt. En sus, les croyants devaient être humiliés. Les mécréants, s’il y en avait à l’époque, étaient massacrés.

 

 

 

 


Ce qui veut dire qu’aujourd’hui, le seul moyen de combattre cette religion est de se réarmer spirituellement et de mener un combat religieux. La résistance physique est interdite, voire impossible.

 

 

 

L’espoir en des lois contraignantes si elles n’ont pas de glaives est vain.

 

 

 

Richelieu disait : « Faire des lois pour ne pas les appliquer revient à autoriser ce que l’on veut interdire. » J’en déduis que la responsabilité d’un combat spirituel de terrain en tout premier lieu revient à la hiérarchie des Églises chrétiennes. À celle des catholiques en tout premier. Celle-ci a pris une immense responsabilité en refusant de prendre en compte l’islam comme un vrai danger pour elle. Elle a commis trop d’erreurs graves d’appréciation. Il lui faut réagir !

 

 

 

Il est temps que la chrétienté prenne conscience de ses abandons multiples et se souvienne de son rôle premier qui est d’évangéliser et de transmettre le vrai message d’amour et de tolérance du Christ, à opposer à celui de mort.