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  • Article dans Libération le 25 Octobre 1996.

     

     

     

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    Le pasteur qui voue sa charité au FN. Jean-Pierre Blanchard lance une soupe populaire lepéniste à la gare Saint-Lazare.

     

    Par David DUFRESNE 25 octobre 1996 à 00:01
     

     

    • Loquace et souriant, le pasteur Blanchard. C'est que ce proche de Le

    Pen est fier de son idée, qu'il présente aisément comme un «scoop». Qu'on appelle l'idée «restau du coeur FN», «soupe populaire FN», il s'en moque un peu. Ce qu'il veut, c'est les mener à terme, ses «repas chauds». Qu'importe le nom, «après tout, on n'est pas dans un meeting... Même si on ne cachera pas nos couleurs». Alors, le sourire satisfait de celui fraîchement installé dans le QG même du Front national à Saint-Cloud, il détaille, intarissable, précis en tout, ou presque. Sa camionnette se garera tous les lundis et jeudis soir, de novembre à mars, au pied de la gare Saint-Lazare (IXe arrondissement), préférée, dit-il, à celle du Nord, «trop chaude, avec tous ses toxicos»... Le véhicule devrait être blanc, marqué d'un sceau discret: l'Icaf-social (pour Institut consultant d'aide et de formation). Discret mais transparent: derrière le sigle, il y a le Front national qui salarie pour l'occasion le responsable de l'«institut». C'est que Jean-Pierre Blanchard a pour lui l'amitié de Jany Le Pen, épouse de, et celle de Samuel Maréchal, gendre du même, avec lesquels il dirige un Cercle des amitiés protestantes (1).

     

     

     

    De généreux «amis». Une bible en évidence sur son bureau, le pasteur poursuit. Autour du véhicule Icaf-social, une équipe d'une demi-douzaine de personnes servira un repas type fait de soupe, sardines, chocolat, pain et madeleines. Selon ses prévisions, les cent litres de potage auront été préparés par une restauratrice «amie» du parti lepéniste mais qui désire conserver l'anonymat. Les madeleines proviendront d'une entreprise, elle aussi «amie» et tout autant anonyme. Quant au chocolat et aux sardines, un retraité les aura mis en sachet individuel. Anonyme et ami, encore. Et pour le service d'ordre, le Front national de la jeunesse ­ coiffé par Samuel Maréchal ­ a promis de prêter des bras. Tout comme la secrétaire de la fédération FN de Paris, Martine Lehideux.

     

     

     

    C'est en septembre que l'«action de solidarité» de Jean-Pierre Blanchard s'est affichée au grand jour pour la première fois. Dans l'allée centrale de la fête des Bleu, Blanc, Rouge du FN. Là, le pasteur Blanchard, habitué ordinairement à vendre des ouvrages pieux, tendait des tracts. Dix-mille au total, qui en appelaient à la volonté des militants pour la «distribution gratuite de repas chauds» sur Paris. Avec cette précision: «En faveur de nos compatriotes les plus démunis.»

     

     

     

    Un mois plus loin, le pasteur Blanchard assure pourtant qu'il n'y aura pas de discrimination. Que, non, on ne demandera pas leur carte d'identité aux «malheureux», comme cela s'était vu, en 1988, dans une opération similaire organisée par Fraternité française, cercle satellite du FN. Que, oui, «si un Maghrébin vient, ou un Africain, on le servira». Que, non, «il ne s'agit pas de sélectionner» les pauvres. Des choses comme ça. Avant de souffler qu'«à titre personnel», il est «pour la préférence nationale» jusque dans la débine et la faim, et qu'il s'«adresse d'abord à [ses] compatriotes». Une question, selon lui, de «justice sociale» et de «nécessaire rééquilibrage». Quant à savoir comment cela se traduira dans la pratique, mystère. Tout juste répète-t-il qu'«on fera tout pour avoir des SDF de "chez nous», tenus informés «dans le métro et ailleurs». Par qui? «Nos réseaux.» Les précisions s'arrêtent là.

     

     

    De Mao à Le Pen. Et elles se font tout aussi courtes sur les arrière-pensées politiques d'une telle soupe populaire à la sauce nationale. Lui, l'instigateur, promet n'en voir aucune, avance que «ces gens, souvent, ne votent pas», et que ces repas chauds franco-français ne seraient que charité chrétienne. Pourtant, Jean-Pierre Blanchard concède qu'il y a là matière à offrir au FN un visage inédit, qui «suscite de bons échos» chez ses partisans. Et, plus important encore, que son action participe au virage du FN vers «un travail d'enracinement et de terrain, qu'il ne faut pas laisser à la gauche». Un nationalisme social, apte à faire du FN un parti «porteur d'espérance». C'est que le pasteur Blanchard, mao à 20 ans au début des années 70, de «toutes les marches dans le Larzac», un temps éducateur devenu tardivement frontiste, en connaît un bout sur le «terrain». C'est même la raison pour laquelle Le Pen l'a engagé, affirme-t-il. Pour son «savoir» (2).

     

     

     

    Des réserves sur le personnage. Toutefois, à quelques jours de ses premières distributions de repas, le pasteur Blanchard est loin d'avoir la certitude de réussir son coup. Question finances, en attendant mieux via des dons d'entreprises, l'Icaf-social n'a récolté auprès des militants FN que 15 000 F. Une somme dérisoire, reconnaît-il, loin des 70 000 F budgétés pour «tenir cinq mois» et distribuer les 10 000 repas espérés. Et son association ­ dont est membre Winfried Wermeling, auteur au début des années 90 d'une campagne de «trois millions de signatures contre l'avortement et pour la vie» avec son Union nationale pour l'Europe chrétienne ­ n'a pas obtenu du parti le local qu'elle souhaitait.

     

     

     

    Souriant toujours, envers et contre tout, le pasteur Blanchard met cette réserve des siens sur le compte de son «passé atypique». De Mao à Le Pen, via le protestantisme, encore que celui-ci passe ici par une église ultra-conservatrice luthérienne d'origine américaine, non rattachée à la Fédération protestante de France. Comme si les idées de ce pasteur sans charge paroissiale, qui se range volontiers parmi les «modérés» du FN, n'étaient pas au goût de toutes les instances de son parti. Un Front national qui a pourtant fait du social une de ses priorités. Notamment en mars 1996, avec la création d'un département des affaires sociales dirigé, entre autres, par Carl Lang (vice-président du parti), François-Xavier Sidos (membre du cabinet de Le Pen et ex-mercenaire chez Bob Denard) ou Pierre Vial (conseiller régional FN et ancien dirigeant du Grece). Des typiques, ceux-là.

     

     

     

    (1) Voir le Front national, histoire et analyse, de Jean-Yves Camus (éditions Olivier Laurens).

     

     

     

    (2) Le rôle premier de l'Icaf-social est, d'ailleurs, de dispenser des formations en ce sens aux villes gérées par le FN. Y compris Marignane (Bouches-du-Rhône), qui avait retiré en 1995 l'aide municipale accordée aux Restaus du coeur fondés par Coluche...

     

     

     

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  • UN NAUFRAGE INQUIETANT:

     

     

     

    Pendant que la classe politique et les médias s’éternisent sur le bien-fondé ou non de la déchéance de nationalité, mesure symbolique dont se moquent les naturalisés, qu’ils nous enfument avec les pleurnicheries et les commémorations diverses, ou qu’ils tentent de camoufler les centaines de plaintes (643) pour harcèlements sexuels à Cologne le soir du Nouvel An, mais aussi à Brême, Stuttgart, Brême, Stockholm ou Vienne, eh bien pendant ce temps, la Crise continue !

     

     

    Parce que, contrairement à ce que prétendaient nos gouvernements il y a maintenant 18 mois, les exportations ne se sont pas envolées, grâce à un euro qui a perdu 25% de sa valeur depuis mai 2014 par rapport au dollar, grâce à une inflation à moins de 1%, malgré des taux d’intérêt au plus bas (Euribor à 0,8% sur 1 an) et un baril de pétrole en moyenne à 52 $ pour 2015 (contre 99 $ en 2014 et 109 $ en 2013).

     

     

     

    Selon les analystes, les experts et les instances européennes, ces quatre facteurs auraient dû faire tourner nos usines à plein régime, ce qui est loin d’être la réalité. Le chômage ne diminue pas, la confiance des ménages n’est pas au rendez-vous et par conséquent, la consommation reste atone et l’économie patine. Quant aux investisseurs étrangers, on attend toujours…

     

     

     

     

     

     Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir

     

     

    Ancrés dans leurs certitudes, les pourriticards s’obstinent à nier l’évidence : l’économie réelle ne repartira qu’à l’aide de mesures structurelles drastiques, mais impopulaires. La confiance des populations ne se décrète pas, elle se mérite par l’efficacité, la compétence et le bon-sens, et non pas en inondant le marché financier de centaines de milliards d’euros prêtés aux banques à des taux ZERO, comme le fait la BCE depuis mars 2015, à raison de 60 milliards par mois et ce jusque fin 2017.  Les exemples japonais (en crise depuis plus de 25 ans) et américain (la FED a injecté plus de 3.600 milliards de dollars depuis 2009 dans le circuit bancaire) montrent à suffisance que c’est bien l’économie réelle qu’il faut soutenir et non pas, comme l’ont fait les USA et le Japon, les banksters qui profitent de cette manne financière pour spéculer sur le marché des actions et des dérivés, afin de pouvoir augmenter leurs résultats à bon compte.

     

     

    Les frets maritimes coulent à pic

     

     

    Indice phare du marché des transports maritimes, le Baltic Dry Index (BDI) fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur 20 routes océaniques pour le transport en vrac de matières sèches (charbon, céréales, minerais, métaux, etc.)

     

     

    Créé en 1985, le BDI est un indicateur qui a la réputation d’être fiable, parce qu’il est basé sur des contrats de livraisons à long terme, entre partenaires commerciaux expérimentés.

    Contrairement au FMI qui, en février 2015 prévoyait une hausse du commerce mondial de 3,8% en 2015 et de 5,3% pour 2016 (merci Mme Lagarde), le BDI et les index similaires Capesize, BPI ou BDTI, qui permettent de juger des estimations de prix pour l’affrètement à long terme d’autres catégories de navires, laissaient déjà entrevoir un net ralentissement des flux maritimes, hors pétroliers, et donc aussi un frein aux échanges mondiaux.

     

     

    Alors que l’indice BDI caracolait au-delà des 10.000 points en 2008 et grimpait vers les 12.000 points en juin 2009, il chutait dans une fourchette de 3000/4000 points entre 2010 et 2012.

    Le 2 février 2015, il se retrouve à 632 points, ce qui augurait une année 2015 très morose pour le vrac maritime. Mais loin de se reprendre, sa chute s’accentue et de 522 points le 11 décembre 2015, il se retrouve à 369 points le 18 janvier 2016, soit une baisse de 29% en 5 semaines !

     

     

    Jamais dans l’histoire de l’économie mondiale, on n’a vu une telle surabondance d’extraction de minerais, de vraquiers, d’aciéries, d’usine d’aluminium et ainsi de suite, destinés à des consommateurs absents… Cela retombe sur les marchés financiers, car les cotations boursières des grandes compagnies maritimes spécialisées dans le vrac ont chuté de 75% en 2015 et rien ne dit qu’ils sont « dans le creux de la vague » !

     

     

    Et vous, vous croyez encore que la Crise est derrière nous ?

     

     

    Pieter KERSTENS

     

  • Jean-Pierre Blanchard : 45 ans de combat contre la précarité:

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Qui est le Pasteur Blanchard ?

     

     

     

    Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

     

     

     

     

    Le combat continue depuis 2006 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2014 à l’aide de familles  défavorisés.

     

     

     

     

    Comment peut-on les aider ?

     

     

     

    Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

     

     

     

     

     

    Contact :

     

     

     

    Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

     

    Téléphone : o6 74 03 18 15

     

  • Paris : la grande majorité des violeurs sont étrangers:

     

     

    Une radiographie complète des viols à Paris dans une longue enquête publiée par Le Parisien. 688 (598 sur majeurs et 90 sur mineurs) ont été déclarés aux autorités en 2013 et 2014 dans la capitale, selon les chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). En exploitant ces données, le quotidien francilien dresse un rapport complet des agressions à Paris.

     

     

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    « Portrait-robot du violeur : un étranger de 34 ans

     

     

    Les 322 agresseurs identifiés par la police sont tous des hommes (pour les agressions sur majeurs), et âgés en moyenne de 34 ans. Plus de la moitié d’entre eux sont de nationalité [officielle] étrangère (52 %) [auxquels il faut ajouter ceux qui ont des papiers français mais ne le sont pas réellement : les Français dits de souche sont donc très minoritaires – NDCI] et 44 % sont sans emploi, rapporte le quotidien. 48 % d’entre eux étaient connus des services de police, dont 20 % pour des infractions sexuelles. Dans presque la moitié des cas, la victime connaît son agresseur. Un chiffre faible par rapport aux statistiques globales (90 %) qui s’explique par le fait que l’étude ne repose que sur les viols déclarés aux autorités (10 % des viols seulement).

     

    (…)
    Un lieu privé dans un quartier festif

     


    D’après l’enquête, certains quartiers de Paris seraient plus « dangereux » que d’autres. Ainsi, les taux les plus élevés d’agressions sexuelles ont lieu dans les Ier, Xe et XIe arrondissement. Les VIIe et XVe enregistrent les taux les plus faibles. « C’est dans le secteur Folie-Méricourt (XIe) et à proximité de la station de métro Belleville (Xe, XIXe, XXe) que l’on enregistre le plus grand nombre de viols commis », indique le Parisien. D’autres lieux sont cités par les chercheurs : le quartier des Halles, l’axe boulevard de Sébastopol-quartier République, la gare du Nord, la gare Montparnasse, l’axe place de Clichy-place Pigalle et le boulevard Barbès.

     


    Dans 74 % des cas, les viols sont commis dans des espaces privés, notamment dans les lieux d’habitation (57 %). 12 % ont été commis sur la voie publique. Par ailleurs, 73 % des viols sont commis la nuit, et 40 % le week-end. »

     

  • Forces du désordre et faibles de notre déclin:

     

     

     

    En ce beau mois de septembre 2016, les media gouvernementaux (pourtant ô combien aseptisés & formatés) commencent à reconnaître ce qu’affirment depuis les années 1980 d’ignobles « fascistes » (prononcer « fachistes », ça fait plus crédible), à savoir que l’énorme majorité des viols commis en Europe occidentale sont perpétrés par d’honorables immigrés (ou rejetons d’iceux), qui procèdent par bandes (ce qui procure aux victimes – toujours des « petits culs blancs » – le plaisir douteux des « viols en tournante »), honorables immigrés qui pimentent leurs prestations de fins commentaires racistes et parfois de douceurs accessoires (vol, brûlures à la cigarette incandescente, morsures, coups de couteaux).

     

     

     

    Tout cela était étalé dès le milieu des années1980 dans une foule de livres et de brochures, non vantés par les critiques littéraires ou sociologiques ni diffusés par les grandes messageries. On restait fidèle, dans la propagande officielle, au mythe rousseauiste du « bon immigré », un peu taquin, avatar du « bon sauvage » des grotesques publications du XVIIIe siècle. Seuls les candidats des mouvements populistes (toujours battus aux élections, grâce à l’effet de diabolisation utilisé par leurs adversaires) reprenaient cette accusation… c’étaient des « fachistes », des « nazillons », en un mot des « racistes » (et pour ressembler à certains utilisateurs de l’invective, veuillez la prononcer « lowacistes » : respectons le rhotacisme d’une partie de nos « hôtes »). 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Or nous apprenons, à la jonction du grand cru 2015 de l’ignominie musulmane et d’un début très prometteur de cru classé dans l’immondice immigrée, que tout cela était vrai, bien réel, mais tenu caché par les directions de polices, tenues en bride par leurs maîtres gouvernementaux. En Finlande et en Suède, en Allemagne comme en Belgique, des policiers avouent sans vergogne avoir « menti sur ordre »… seuls les Norvégiens avaient abandonné depuis plus de 10 années ce comportement maffieux d’omerta, cette loi du silence pour éviter les pamoisons d’une opinion publique paniquée à l’idée que la police et la Nation d’accueil pussent être taxées de « racisme ». Au fait, ce silence sépulcral demeure un exercice obligé en France hollando-vallso-cazeneuvienne.

     

     

     

    Face à ces « forces de l’ordre » qui étaient autant de faiblards et d’hypocrites, les délicieux fruits pourris de l’immigration continuaient en quasi-impunité à saccager et incendier, voler et violer, « suriner », voire – invention brevetée califat nouveau – décapiter au couteau à céramique. De temps en temps les merveilleuses crapules et canailles immigrées s’offraient une fiesta : caillassage de policiers et de pompiers, attaque de commissariats à la « Kala » voire au mortier, enfin le grandiose spectacle d’une émeute raciale, strictement corrélée en France à la « montée en puissance de l’islam », comme le signalaient dès 1990 de doctes universitaires, pourtant estampillés « de gauche ». Les faibles de notre déclin, ces merveilleux policiers de toutes variétés, faisaient semblant de « réprimer » ; en réalité, ils attendaient que le mouvement s’arrête faute de munitions ou par la fatigue des honorables insurgés.

     

     

    En revanche, nos glorieux policiers de tous types redevenaient gaillards, voire brutaux, quand il s’agissait de cogner sur les autochtones qui protestaient contre la crapulerie des assassins et violeurs immigrés ! De faibles de notre déclin, ils redevenaient forces de l’ordre établi, celui de la mondialo-globalisation qui exige le brassage des races (pour amoindrir la résistance de l’élite de ces Blancs, jugée trop psychorigide) et une hyperconsommation des peuples – qu’elle soit justifiée par les gains issus d’un honnête labeur, par de l’argent volé ou obtenu par divers trafics, ou plus simplement de façon parasitaire, par les multiples subventions et allocations allouées par l’État aux immigrés… même clandestins !

     

     

    C’est le scénario réalisé, ces jours-ci, en Allemagne de mémé Merkel ! Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, les policiers de Cologne, Hambourg et Stuttgart n’osent cogner sur les hordes d’immigrés maghrébins, proche- et moyen-orientaux qui agressent, en moyenne à 10 « mâles » contre une femme blanche, des passantes allemandes pour procéder à des attouchements sexuels, des coups et des blessures vulnérantes, des viols et – bien sûr – des vols. En revanche, avec quelle hargne, quelle violence, quelle virilité ces nobles pandores attaquent-ils des Allemands de souche européenne, désarmés, venus clamer le samedi suivant leur indignation. Ah mémé, te revoilà au bon temps de la RDA, où les Schupos cognaient sur leurs concitoyens qui réclamaient un peu de liberté !

     

     

    Partout en Europe occidentale, depuis le début de l’ère globalo-mondialiste, le scénario est le même. Le racisme est toujours reproché aux vilains Blancs, alors qu’à l’évidence, pour tout observateur ni sourd ni aveugle, le véritable racisme est celui des individus inutilement importés qui crachent leur haine du Blanc. On ferme les yeux sur les crimes et les délits mille fois répétés des « requins vicieux » de l’immigration : l’expression a été inventée par des immigrés musulmans honteux du débordement de haine et de malfaisance de rejetons de leur bord qu’ils n’avaient pas su éduquer, civiliser, policer… alors même que le minimum, pour ces délicieux immigrés et rejetons, eût été de manifester une politesse et une reconnaissance de bon aloi puisqu’on leur offrait les conditions d’une vie hautement civilisée au lieu de celles des infâmes et insalubres cités miséreuses d’Afrique ou du Moyen-Orient.

     

     

    Lâcheté de pseudo-mâles immigrés qui osent s’attaquer en bande à une seule femme ; laxisme scandaleux de policiers, payés avec les impôts que l’on nous soutire, quand il s’agit de protéger des autochtones et de réprimer les crimes et délits des fruits pourris d’une immigration inutile à notre Bien commun ; brutalité immonde de ces mêmes policiers quand ils sont chargés, par des politiciens vendus aux maîtres de l’économie de marché, de réprimer les manifestations d’une colère légitime des autochtones floués, attaqués, souillés.

     

     

    La mesure et comble. Ou les Européens se révoltent contre leurs tyrans abjects, nuls et trop souvent corrompus, ou ils sont mûrs pour la conversion à l’islam médiéval, l’esclavage et la mort. Le choix est clair. Les Européens sont-ils dignes de leurs ancêtres ou ne sont-ils plus que des veaux et des capons destinés à la boucherie ?

     



    Dr Bernard Plouvier

     
  • Petit Brother avant Big Brother:

     

     

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    Le 30 septembre dernier, Najat Vallaud Belkacem a signé un programme renforçant le partenariat avec... Microsoft.

     
     
     
     
     
     

     
     
          

    Quel souvenir a imprimé Emma Bovary dans notre esprit ? Celui d’une jeune provinciale romanesque rêvant d’une vie trépidante et mondaine, dont le mariage avec Charles – piètre médecin, trop simple et donc, pour Emma, ennuyeux à mourir – anéantira tous les espoirs. Emma, dont les émotions alternent entre exaltation et dépression ; Emma futile, Emma oisive et passionnée, Emma égoïste et dispendieuse, enfin, telles étaient les sentiments que cette fille de riche fermier pouvaient en nous susciter.

     

     

    Terminé. Dorénavant, grâce aux enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), orchestrés en même temps par un professeur de lettres et un professeur de sciences et vie de la terre (SVT), les élèves étudieront Emma en fonction de… son alimentation ! C’est ce que révèle Jean-Paul Brighelli dans Le Point puisque, en novembre 2015, un formateur de l’académie de Lyon a proposé ce qui suit : « Madame Bovary mangeait-elle équilibré ? Vous analyserez le menu proposé à son mariage, en expliquant en quoi ce sommet de la gastronomie normande ne satisfait pas les exigences d’une alimentation respectueuse de l’environnement. » Ravaler le chef-d’œuvre de Flaubert au rang de vulgaire propagande alimentaire et de prétendue étude écologique, pauvre Gustave !

     

     

    Il y a pire : c’est l’EPI latin-EPS. « Entraînez-vous à refaire le geste de salut des gladiateurs à César […], le bras doit être levé droit, les doigts tendus, selon un angle de 30°. Cherchez des exemples dans un célèbre film de Ridley Scott et dans l’histoire allemande des années 1930-1940. » Beaucoup d’enseignants rechignent à se plier à se former ? À refuser que leurs élèves pratiquent ce qui ressemble furieusement à un salut nazi ? Le recteur de l’académie de Grenoble d’écrire que « ces comportements sont choquants et ne sauraient être tolérés » et d’en appeler à lui signaler le personnel éducatif récalcitrant.

     

     

    Vous nourrissez des craintes face à une école qui a tout l’air de vouloir transformer vos intelligentes têtes blondes en inquiétants crétins ne s’exprimant plus que par slogans ? Vous n’avez encore rien vu. Aux États-Unis, le programme Common Core a été mis en place. Inspiré par Bill et Melinda Gates, imposé par l’administration Obama, le très nébuleux programme éducatif, qui engendre d’ores et déjà – par des exercices volontairement insolubles, et par des sujets comme « C’est OK de commettre un suicide » – des « dégâts physiques et émotionnels » considérables, a pour but de « transformer les étudiants en travailleurs plus dociles et en bétail plus taxable », en déduit le journaliste de l’émission.

     

     

    Mais le pire est à venir. Bientôt, le suivi des élèves par un système d’imagerie à résonance magnétique fonctionnelle (FMRI), grâce à des capteurs sensoriels : « caméra à reconnaissance d’expression faciale installée dans les classes, sièges analysant leur posture, souris de leur ordinateur évaluant leur niveau de stress, bracelets biométriques pour surveiller le niveau d’intérêt », qui permettront à la fois la surveillance des élèves mais aussi celle de leurs professeurs.

     

     

    La nouvelle ? Le 30 novembre dernier, Najat Vallaud Belkacem a signé un programme renforçant le partenariat avec… Microsoft. Le salut à César d’un côté, la surveillance sensorielle de l’autre, n’y a-t-il pas du souci à se faire ?

     

     

  • ENTRETIEN AVEC JACQUES VASSIEUX LE 23/07/2010.

     

     

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    Rencontre avec…

     

    le Pasteur

     

    Jean-Pierre Blanchard

     

    Posté par  Jacques le 23 juillet 2008.

     

    Pasteur Blanchard, pouvez-vous vous présenter ?

     

    Languedocien né dans le Minervois, j’ai grandi à Mazamet au pied de la montagne noire. Je peux revendiquer avec fierté, comme le Pasteur Napoléon Payrat : « Je suis Cathare par le sang de mes ancêtres, et Camisart par la foi de mes aïeuls ». Sans le bouleversement de mai 68, je serais resté dans ma vie provinciale. Ouvrier délaineur en Haut-Languedoc, je partis à la capitale pour faire carrière dans le social, avant de faire des études de théologie.

     

     

    Vous êtes tombé tout petit dans « la marmite du social », racontez-nous…

     

    Les fracas de 68 me firent sortir de ma condition ouvrière : je devins animateur bénévole dans les MJC, où je pris goût aux choses de l’esprit, et plus particulièrement à la philosophie qui reste encore ma première passion. Ayant retrouvé la foi, après une équivalence au bac je devins travailleur social professionnel. Ceci grâce à une annonce dans un journal protestant intitulé « Le Christianisme au Xxe siècle », ce journal a aujourd’hui disparu. Il y a de cela 30 ans (le 2 mai 1978) je débutais à « la Cité de Refuge » de L’ Armée du Salut (Paris 13e).

     

     

    Et aujourd’hui, où en êtes-vous ?

     

    Je continue mon ministère pastoral : principalement de la formation théologique via internet. Sur le plan social, mon épouse et moi-même avons créé en 2005 l’association Action Sociale Populaire (ASP).

     

     

     

    Pouvez-vous faire un rapide bilan des actions de L’ASP dont vous êtes le Président ?

     

    Lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique. Puis, j’ai eu le sentiment que si nous voulions nous enraciner, il nous fallait privilégier d’autres types d’actions : j’ai lancé l’idée des maraudes d’hiver et nous sommes partis sans savoir où nous allions. A l’usage, les circuits se sont précisés. Notre dernière maraude bénéficiait de la présence de Louis Aliot. Depuis, nous avons entamé notre campagne d’été : rendre visite à des personnes âgées et isolées. Nous faisons également des repérages pour notre prochaine campagne de maraudes qui devrait commencer peu avant le début de l’hiver.

     

    Avez-vous reçu de l’aide de la part de la classe politique ?

     

     

    Avec le temps j’ai fini par obtenir une équipe efficace et c’est une bonne chose. Par contre la période n’est pas propice pour la collecte de fonds, même en lançant des appels sur les ondes de Radio Courtoisie. Je suis revenu au FN en 2007, après le premier tour des élections présidentielles, par fidélité à mes convictions, sans recevoir aucune aide de ce côté là. Depuis ma nomination par le secrétaire général du FN, il m’a été promis de l’aide, je suis persuadé qu’ils tiendront parole, et que, à l’avenir, je pourrai compter sur eux.

     

     

    Nous avons appris que l’humoriste Jean-Marie BIGARD vous avait contacté. Est-ce exact ?

     

     

    Oui c’est exact.

    Je suis passé dans une émission « assez neutre » diffusée par les ondes de « Radio Courtoisie », dirigée par Benjamin GUILLEMAIND et principalement consacrée aux artisans. Je suis passé après deux maître-tailleurs, juste avant une dame qui possède un magasin d’anges sur la butte Montmartre. Benjamin GUILLEMAIND, l’animateur, m’y demanda des explications en tant que « spécialiste » du sujet. Je parlai de mes maraudes, et comme d’ habitude, j’ai indiqué mes coordonnées téléphoniques pour les gens qui souhaitent donner des vêtements. En rentrant à mon domicile j’ai éteint le portable, et qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver le lendemain matin un message de Jean-Marie BIGARD !

     

     

    Que vous a-t-il dit ?

     

     

    Il venait de m’entendre à la rediffusion du matin, il était emballé par le travail de mon association, notamment par sa dimension artisanale : à échelle humaine.

     

     

    Vous a t-il proposé son aide ?

     

     

    Oui, il voulait me faire rencontrer des personnes susceptibles de m’aider financièrement. Il m’a même laissé son numéro de téléphone pour qu’on prenne RDV, afin de définir notre collaboration. Par honnêteté, je lui ai demandé d’aller voir mon blog avant de nous rencontrer. Depuis je lui ai téléphoné de nombreuses fois, en vain.

     

     

    Quel est votre plus triste souvenir ?

     

     

    Le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a  été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué.

     

     

    Et votre plus beau souvenir ?

     

     

    Le sermon de mon collègue, le jour de mon ordination. Voici ce qu’il a dit dans « Le Luthérien » : « Comme je devais assurer la prédication, je repris la parole que Dieu avait adressée à Ezechiel « je t’établis comme sentinelle sur le pays… » (EZ : 3 :17) parce que c’est la guerre de Dieu, contre le péché et la mort » … prémonitoire … non ?

     

     

     

    Vous vous êtes rapproché du Front National, et son secrétaire général, Louis ALIOT, vous a même confié une responsabilité dans le nouvel organigramme, pouvez-vous nous en parler ?

     

     

    A mon heure de gloire j’ai été membre du Comité Central et du pré-gouvernement. Je suis revenu par fidélité à mes convictions. Mon équipe et moi-même travaillons à un projet d’envergure nationale, nous avons fait une note qui sera présentée au Président. Le Secrétaire Général le présentera aux Secrétaires Départementaux dans une lettre circulaire.

     

     

    Une conclusion ?

     

     

    Le Front National est à la croisée des chemins, en plus du long et difficile travail de reconstruction, il doit faire une révolution copernicienne, comprendre que son avenir se joue au moins autant dans le champ du social que dans celui du politique. Je crois que les circonstances nous sont, et nous resteront, de plus en plus favorables ; à condition que, contrairement au passé, le social soit compris comme un élément clef de notre devenir. Il faut, dans ce domaine, se donner les moyens d’une politique ambitieuse. Il faut savoir prendre les virages au bon moment, c’est le moment des choix décisifs.

     

     

     

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    Commentaires :

     

    Commentaire par Jérôme le 23 juillet 2008 @ 11:33

    Un bel entretien avec un homme de foi et de coeur qui se dévoue avec des moyens limités pour nos compatriotes les plus démunis. On apprécie la franchise du pasteur pour ses propos relatifs à la droite nationale ainsi que sa clairvoyance pour l’action sociale. Actuellement avec la conjoncture économique très défavorable le nombre d’exclus et de sans domiciles fixes se multiplient tant dans les agglomérations gigantesques que dans des villes moyennes (La Rochelle ville populaire de 80 000 habitants en est un triste exemple tout au long de l’année). Si la vie des SDF est très dure l’hiver, elle est carrément intenable l’été car aux privations physiques s’ajoute une grande exclusion morale avec une profonde solitude.

    Un homme de foi et un juste combat social à soutenir !.

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    • Commentaire par Marc le 23 juillet 2008 @ 12:24

    Je partage sa conclusion : investir le champ social tout en tenant le cap de la politique actuelle du FN

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    • Commentaire par Olivier de Granvil le 12 août 2008 @ 15:29

    Merci à Promenade sur la toile | e-deo

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    • Commentaire par ulrich le 12 mars 2010 @ 13:54

    Je suis serviteur du SEIGNEUR,précisement de vocation ministérielle : EVANGELISTE.Je désire correspondre avec le pasteur Jean-Pièrre Blanchard pour échange et surtout encore de grandes choses avec lui par sa grande expérience du ministère dans le SEIGNEUR.Pasteur,que la paix et la grace de JESUS soit et demeure avec vous.Et qu’il vous donne encore la force et le zèle malgré l’âge d’avancer,de toujours continuer la bonne oeuvre du CREATEUR.Car la jeunesse dont je fait partir vous voyant ainsi,s’inspire et tire profit de tous ces bonnes actions des pères que vous êtes afin aussi de réussir la mission du CHRIST.