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30/08/2016

Vers une crise pire qu’en 2007

Vers une crise pire qu’en 2007.jpg

Une avalanche de défaillances sur dettes va s’abattre sur le monde

« La situation actuelle est pire qu’en 2007: le système  financier mondial est devenu dangereusement instable, et nous pourrions prochainement assister à une cascade de défaillances et de faillites qui éprouveront nos stabilités sociale et politique », affirme William White président du comité d’examen des situations économiques et des problèmes de développement de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), et qui est également l’ancien chef économiste de la Banque des Règlements Internationaux (BRI).

 

« Nous avons épuisé toutes nos munitions macroéconomiques pour lutter contre les crises économiques », a-t-il dit, expliquant que l’accumulation des dettes au cours des 8 dernières années a atteint de tels niveaux dans le monde entier qu’elle pose de très grands dangers.

 

« Lors de la prochaine récession, il sera de plus en plus évident qu’une partie de ces dettes ne seront jamais remboursées, et cela sera très inconfortable pour beaucoup de gens qui pensent que leurs actifs valent quelque chose », ajoute-t-il.

 

White affirme que les banques européennes, qui ont déjà admis qu’elles avaient 1000 milliards de dollars de créances en souffrance dans leurs bilans, seront particulièrement vulnérables, et qu’elles devront accepter des abandons de créance importants. Elles sont beaucoup exposées aux marchés émergents, et n’ont probablement pas révélé l’ampleur réelle de leurs créances à risque. De plus, le continent est de plus en plus vulnérable aux difficultés économiques de la Chine.

 

De nouveaux sauvetages de banques à prévoir en Europe

 

Il faudra donc sans aucun doute actionner les nouvelles règles de « bail-in » (en vigueur depuis le début de cette année), c’est à dire de sauvetage des banques européennes par les actionnaires et les clients des banques disposant de dépôts excédant les 100.000 euros et recapitaliser massivement les banques  européennes.

 

White critique les politiques de « QE » menées par les grandes banques centrales au lendemain de la crise financière, dont il dit qu’elles ont encouragé l’endettement et créé des bulles de crédit dans le monde entier, ce qui signifie que le problème des dettes excessives a gagné les pays émergents. « Les pays émergents faisaient partie de la solution après la crise Lehman. Maintenant, ils font aussi partie du problème », a-t-il dit.

 

Les prédictions de White sont d’autant plus menaçantes qu'il fait partie d’une minorité d’experts qui avaient déjà averti l’Occident de l’imminence d’une très grave crise financière entre 2005 et 2008.

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10:13 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : crise, société

France : les militaires bientôt autorisés à abattre les terroristes en pleine rue:

 

 

 


 

 

 

Selon l’hebdomadaire, lors d’une intervention au sein de l’Assemblée nationale fin octobre, le chef d’état-major des armées françaises Pierre de Villiers a déclaré que la France, ainsi que d’autres pays européens, devraient prochainement faire face à « un niveau de menaces inédit depuis de nombreuses années« .

 


Dans ce contexte, M.de Villiers a affirmé que les forces de sécurité intérieure avaient besoin « d’un renfort substantiel et durable des forces armées« .

 

 

« Puisque nous avons affaire (à l’étranger, ndlr) aux mêmes terroristes, nous devons pouvoir recourir, le cas échéant, à des modes d’action qui s’inspirent de ceux utilisés à l’extérieur du territoire national« , a expliqué le général français cité par Le Canard Enchaîné.

 

 

En commentant ces propos, l’hebdomadaire concède qu’il serait « stupide » de nier la menace terroriste qui pèse sur la France mais s’inquiète de l’éventuelle présence sur les rues de soldats qui pourraient ouvrir le feu selon les nouvelles règles jugées cependant « très contraignantes » par un expert militaire cité par le CE.



Toujours selon le journal, les mesures envisagées et le cadre juridique pour l’éventuelle intervention de l’armée française sur le territoire du pays devront être examinés dans un délai de deux mois.


« Au début de l’an prochain, le tout sera présenté aux députés et aux sénateurs. Avec prière de réagir, comme ce fut naguère le cas, lors du vote de la loi sur le renseignement, sans trop d’états d’âme« , conclut l’hebdomadaire.

 

 

Jean-Vincent Brisset, général de brigade aérienne et directeur de recherche à l’IRIS, estime que le projet en question vise à « faire faire aux militaires le métier des forces de maintien de l’ordre, des forces du Ministère de l’Intérieur« .

 

« C’est intéressant parce que ça se rapproche des propositions de M.Sarkozy sur la création d’un grand ministère de la sécurité. Mais on a déjà des problèmes de règles d’ouverture du feu, qui sont différents pour la police et la gendarmerie. Si l’on donne des règles d’ouverture du feu à des gens dont le métier n’est pas d’ouvrir le feu de manière sélective sur un objectif très précis qui serait au milieu d’une foule, mais de faire la guerre, on va rajouter de la confusion à la confusion et surtout on risque d’énormes incidents« , prévient M.Brisset.

Tout en reconnaissant que les menaces actuelles sont « multiformes et imprévisibles », il souligne qu’elles ne pourront pas être couvertes « en rajoutant 7.000 hommes à patrouiller dans un certain nombre d’endroits ».

 

« Je pense que ça va provoquer de la polémique, je pense que c’est le but recherché aussi. Le but c’est de créer une certaine agitation, de créer un débat sur le sécuritaire parce qu’à l’heure actuelle on est beaucoup plus en pré-campagne électorale que dans le souci de résoudre les problèmes« , indique Jean-Vincent Brisset.

 

08:57 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

26/08/2016

Ancienne maraude:

 

 

 

 

Le jeudi 04 novembre, le pasteur Blanchard, président de l’Action sociale et populaire m’a fait l’honneur de me convier à une maraude à Paris en compagnie de Thierry Gourlot, président du groupe FN au Conseil régional de Lorraine.

 

 

C’est la première fois que je participais à une telle expérience avec ce serviteur de Dieu qui a mis le social au bout de ses idées et qui avec une poignée de bénévoles avec le parrainage bienveillant de Jany Le Pen, sillonne Paris pour aider les plus démunis.

 

 

Jadis l’on appelait clochards ceux qui dormaient dans la rue et aujourd »hui parce que ce mot a une connotation péjorative, l’on parle pudiquement de sans domicile fixe. Derrière la sémantique il y a une augmentation d’exclus sans toit, 10.000 dans la capitale dont 3000 dans le 3ème arrondissement de Paris.

 

 

Partant de la porte d’Italie à 21h00 nous avons sillonné les différents arrondissements de la capitale, une bonne partie de la nuit. J’ai avec Thierry, le pasteur et Catherine son épouse dévouée apporté des vêtements, des chaussures, de la soupe, du café, des boîtes de sardine à des sans-abris et surtout un peu de réconfort à ceux qui en marge d’une société d’opulence, à proximité des immeubles cossus vivent dans la précarité sous une tente, un carton ou parfois à même le sol.

 

 

 

Tous avaient à notre égard, une immense reconnaissance car nous passions un peu de temps à discuter avec eux. Ce qui m’a frappé c’est la mauvaise santé, le manque d’hygiène pour certains ou pour d’autres au contraire comme Yves essayant une paire de chaussures, des chaussettes immaculées. Surtout la solitude, l’isolement de ces personnes abandonnées cherchant refuge dans l’alcool ou dans la drogue et puis surtout l’immense pudeur de ces écorchés de la vie, fatalistes face à leur situation.

 

 

Honte à notre société, au gouvernement UMP, à la mairie socialiste de Delanoë. Comment accepter qu’une immigration planétaire ait droit (à un logement aidé, à des soins gratuits) alors que beaucoup de français sont dans la rue.

 

 

C’est ainsi qu’au hasard de notre pérégrination nocturne, nous avons rencontré Francis, un Lorrain, originaire de Nancy, orphelin de naissance qui après avoir servi la France dans l’armée, a aujourd’hui pour unique demeure un carton et comme compagnon d’infortune le « pinard ». Il a tenu, après nous avoir narré sa vie de galère, et notamment les pressions quotidiennes de la police municipale pour lui faire quitter son territoire, à se faire prendre en photo avec des compatriotes lorrains.

 

 

Le Front National est à la croisée des chemins et son avenir va se jouer autant au plan politique que social. En attendant qu’il arrive au pouvoir et prenne des mesures efficaces il faut aider le travail métapolitique de cette association caritative soit en donnant du temps, de l’argent ou en fournissant des vêtements. J’ai ainsi pu remettre une couverture tricotée par une grand-mère

Comme le disait Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée ».

 

 

Le Front National lorsqu’il sera au pouvoir, pourra combattre les causes économiques mais aussi sociales de la précarité en soutenant des associations bien ciblées, qui viendront apporter au soutien moral et financier à nos compatriotes en réduisant les subventions des associations dédiées à l’immigration et en appliquant la préférence nationale.

 



Jean-Luc Manoury, membre du Comité central, vice-président du groupe FN au Conseil régional de Lorraine

 

24/08/2016

Pré-maraude du 23 08 2016............

 

 

 

23/08/2016

LA PROCHAINE CRISE FINANCIÈRE SE RÉGLERA SUR VOTRE DOS, VOICI COMMENT:

 

On ne connaît pas la date de la prochaine crise financière internationale, bien sûr, mais on sait exactement comment elle va se régler : par la ponction des comptes bancaires. Désormais les choses sont claires. Nous avons parlé à plusieurs reprises de la directive européenne BRRD (Bank Recovery and Resolution Directive) qui permet aux banques en situation de faillite de se renflouer en puisant directement dans les comptes de leurs clients. C’est légal en Europe depuis le 1er janvier 2016. Plus récemment nous apprenions que les Etats-Unis s’engageaient sur la même voie au moment où la Fed abandonnait un de ses mandats originaux de 1913, celui de « prêteur de dernier ressort », des banques en difficulté, justement. Dernièrement, c’est le Canada qui a adopté ce même type de procédure en instaurant un régime de recapitalisation interne des banques.

 

 

Il s’agit d’un véritable mouvement de fond. D’autres pays ont peut être déjà adopté ces procédures d’urgence sans que les médias s’en soient fait l’écho. Nombre de pays émergents en difficulté, comme la Chine ou le Brésil, vont certainement étudier de près ces législations pour s’en inspirer. Pour le Japon, endetté à hauteur de 250% de son PIB, il s’agit désormais du seul moyen d’apurer sa dette tout en évitant l’effondrement économique.

 

 

Car l’avantage déterminant de ce nouveau procédé est bien celui-ci : éliminer les créances pourries et un endettement insoutenable, sans provoquer d’effondrement du système financier, et donc de toute l’économie. Précédemment, c’est-à-dire pendant l’entre-deux-guerres ou immédiatement après la Deuxième Guerre mondiale, c’est par une vague d’inflation ou même d’hyperinflation que les Etats se débarrassaient de leurs dettes, en ruinant au passage les épargnants, et en provoquant également des faillites bancaires.

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, compte tenu de la place prise par le système financier et du poids des banques systémiques, un tel scénario déboucherait sur un effondrement économique comparable à la crise de 1929. Voici à quoi servent les lois instituant les ponctions des comptes bancaires : organiser la faillite et la remise sur pied des banques en difficulté, en l’espace de quelques jours et dans un cadre légal, sans que l’économie réelle ne soit trop durement affectée. Au passage, l’épargnant y aura perdu tout ou partie de ses économies, mais le gouvernement et les médias lui expliqueront que « pour éviter un krach économique majeur, et que vous perdiez ainsi toute votre épargne, on va vous en ponctionner 50% », sous-entendu « estimez-vous heureux, ça pourrait être pire ». Le plancher de 100.000 euros – présenté aujourd’hui comme une protection – aura été allègrement enfoncé, tout le monde aura été touché étant donné que le « Fonds européen de garantie des dépôts » peine à se mettre en place, et qu’il sera de toute façon sous-dimensionné (43 milliards d’euros, pour toute l’Europe, une blague).

 

 

Outre la ruine des épargnants, le problème est que cette procédure consistant à se servir dans l’épargne des particuliers et des PME ne règlera rien sur le fond : les déficits publics et la course à la dette reprendront de plus belle, les banques systémiques (« too big to fail« ) seront toujours aussi instables, et une fois passé le répit apporté par cet apurement géant, quelques années plus tard, il faudra recommencer. Mais de cette façon, le système « Etats surendettés-banques systémiques » se sauve lui-même et peut continuer sa vie, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine.

 

 
Philippe Herlin 

 

08:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

19/08/2016

Souvenirs de l 'île de Wight:

 

Festival ile de  Wight 1.jpg

 

 

 

Le travail d'ouvrier délaineur n'était pas chose plaisante, c’est pour cette raison que je fis le choix de devenir apprenti garçon-de-restaurant au « Grand balcon », l'hôtel le plus prestigieux de Mazamet. Malheureusement je ne pu décrocher mon CAP à l'école hôtelière de Toulouse, mais je continuais à travailler dans cette branche où les débouchés étaient nombreux.

 

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Au début de l'année 1970, j'étais employé au « Durand » sur la route de Carcassonne, château aménagé en hôtel de luxe. Ce fut un soir comme les autres, que se produisit un tournant dans ma vie. Il était tard, les clients n'arrivaient pas avant 22h, et pour passer le temps, j'écoutais "pop star" de José Arthur. Celui-ci annonça  qu'un libraire de la montagne St Geneviève à Paris, organisait un week-end tout frais compris pour le festival de l'île de Wight. Je m'inscrivis et eus le privilège d'assister à ce qui après Woodstock a été le festival référence de la scène rock. J'ai eu la chance de voir les dernières prestations de Jimmy Hendrix et Jim Morrison, ainsi que une galaxie impressionnante d'étoiles, avec en point d'orgue Bob Dylan en pleine période country : un vrai régal ! De plus, j’ai profité, chose que je serais bien plus tard, de la présence des  Beatles à la veille de leur séparation. La légende était en marche, il m'en reste de lumineux souvenirs.

 

 

                                                        Pasteur  Blanchard

 

 

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08:41 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

17/08/2016

Maraude du 22 / 12 / 2015..............

 

 

 

 

M Couteaux 22 12 15.jpg

 

 

Paul-Marie   COUTEAUX

16/08/2016

Le Premier ministre néerlandais : « L’UE risque de s’écrouler comme l’Empire romain »

 

 

 

 

 

L’immigration inquiète le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, parce qu’elle est :

 

 

Une source de déstabilisation de la construction mondialiste (UE). C’est donc la priorité de nos élites politiques de maintenir debout la tour de Babel tant qu’ils le peuvent encore.

 

 


« L’Europe risque de s’écrouler comme l’Empire romain à cause de la crise des migrants, a soutenu le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, cité par le Financial Times, alors que son pays s’apprête à prendre la présidence de l’UE en janvier.

 

 

De nombreuses dissensions existent au sein de l’Union européenne sur la manière de gérer la venue de centaines de milliers de Syriens, Irakiens et Érythréens, notamment, fuyant leur pays pour se rendre en Europe. »La première étape, c’est s’assurer que les frontières soient contrôlées », a soutenu Mark Rutte, cité jeudi soir par le Financial Times : « l’Empire romain nous l’a montré et nous le savons tous, les grands empires s’écroulent si les frontières ne sont pas bien protégées ».

 

 


M. Rutte s’est adressé à un petit groupe de journalistes invités depuis Bruxelles en amont de la présidence de l’UE que les Pays-Bas vont assurer au premier semestre 2017.

 

 

Le gouvernement néerlandais a fait de la crise des migrants une de ses priorités pour sa présidence du groupe des 27.

 

 

« Nous devons arrêter ce flot de migrants qui viennent en Europe, nous ne pouvons continuer avec les niveaux actuels », a-t-il dit, cité par le quotidien en ligne EUObserver.

 

Le ministre néerlandais des Affaires étrangères Bert Koenders a appelé mercredi à travailler pour maintenir en vie l’espace de libre circulation Schengen.

 

 

Mais le ministre néerlandais des Finances et président de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem a prévenu vendredi qu’un petit groupe de pays de l’UE, dont les Pays-Bas, pourraient être forcés de former un « mini-Schengen » si la crise des migrants ne peut être résolue.

 

 

M. Rutte a par ailleurs dit, cité par le quotidien britannique Guardian, ne pas « être sûr » qu’un accord entre l’UE et le Royaume-Uni en vue d’éviter un « Brexit » pourrait être conclu d’ici la fin de l’année. »

09:15 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

12/08/2016

Mazamet autrefois...

 

 

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Qui n'a pas connu l'époque où des balais incessants de camions chargés jusqu'à la gueule de peaux, remontant tambour battant l'avenue du Maréchal Foch, avec cette odeur acre que donnait les peaux et les balles de laine disséminées partout dans la ville, signe de prospérité, faisant d'elle la première place lainière de France, ceux-là ne peuvent pas savoir ce qu'était la vie heureuse dans une petite ville du sud de la France.

 

 

 

Autre merveille du lieu : la route des usines. Prenant les contours de l'Arnette, celles-ci s'alignaient à la queue leu leu. Il y régnait un travail fébrile au rythme des 3x8, avec ces lots continuels de marchandises qui se déversaient. Epoque heureuse où le travail ne manquait pas, et où bien souvent, face à l'ampleur de la tâche, on avait du mal à trouver des bras. Celui-ci devenait tellement contraignant qu'il se déversait jusque dans le centre ville, où la famille Houlés avait ouvert des ateliers dans l'ancienne caserne, juste derrière le grand balcon.

 

 

 

Et puis, il y a le rugby. Nous étions nombreux à rêver, suite aux exploits du Sporting dans le mythique stade de la Chevalliére, mais aussi à pleurer lors de cette finale perdue contre Lourdes, époque heureuse où Mias et Quaglio faisaient gagner l'équipe de France pour la première fois en Afrique du Sud en domptant les redoutables Sprinbok. Que de souvenirs ! Un dernier : le festival Jean-Sebastien Bach, tout cela, comme le vol de l'aigle, me renvoi à cette part de l'enfance qui ne s'éteint pas.

 

 

 

                                     Pasteur  Blanchard

 

 

 

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09:39 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

10/08/2016

Pré-maraude du 9 08 2016............