
La nouvelle est parue . Discrètement. Juste une petite dépêche reprise çà et là. On la comprend, la presse française : à l’heure où 700 policiers traquent un Chérif Chekatt, elle s’en voudrait d’appuyer là où ça fait mal. Surtout pasdamalgame . Faudrait voir à ne pas confondre, on aurait tort de s’énerver, etc. Refrain ad libitum . La nouvelle en question concerne un certain Saïdou, à la ville Saïd Zouggagh, rappeur de son état. Un poète qui, en 2010, s’offrait l’appui d’un sociologue nommé Saïd Bouamama pour mettre sur le marché un livre...